Elle est essentiellement basée sur le courant Humaniste de Carl Rogers, auteur de L’Approche Centrée sur la Personne (ACP). Carl Rogers a tenté de définir le cadre d’une rencontre thérapeutique où l’accent est porté sur la qualité de la relation entre l’écoutant et l’écouté.

Le postulat de base est qu’ « un être humain est fondamentalement un organisme digne de confiance » (Un manifeste personnaliste, Carl Rogers, 1977).

« Dotée de ressources infinies, chaque personne est en capacité d’évaluer ce qui est bon pour elle, de se comprendre elle-même et de faire des choix positifs la concernant lorsque les conditions de la relation thérapeutique est facilitatrice. »

Les trois conditions sinéquanones auxquelles je tiens particulièrement sont :

• L’empathie, c’est-à-dire la capacité du psychologue à comprendre profondément la personne,
• Une authenticité dans la relation où chacun, thérapeute et patient, peut reconnaitre et exprimer ses propres sentiments.
• Un accueil inconditionnel qui permet de recevoir sans jugement les expériences vécues par la personne.

Le but étant de créer une vraie relation de confiance afin de favoriser l’émergence de stratégies fonctionnelles génératrices de mieux être.

Les thérapies brèves d’orientation Cognitivo-Comportementales ont pour « particularité de s’attaquer aux difficultés du patient dans « l’ici et maintenant » par des exercices pratiques centrés sur les symptômes observables au travers du comportement ».

En effet, dans notre vie, le changement est omniprésent. Gérer le changement est devenu quasi une priorité. Soit nous subissons ce que nous estimons être notre sort, ou bien nous prenons notre destin en main et trouvons de nouvelles manières afin de vivre plus sereinement.